Stone ne connaissait pas ses motifs le président soudanais al Omar-Bashir, qui fait face à un mandat d'arrêt délivré par la Cour pénale internationale, avec ses chaussures sur le lundi, sans blessure, et des témoins Visible. Selon des témoins, ils ont refusé d'être nommé dit l'homme, âgé d'environ cinquante ans, ôta ses chaussures et le jeta sur al Président el-Béchir, alors que ce dernier dans la cour de la "Friendship Hall" centre de conférence dans le milieu de la capitale soudanaise. Immédiatement, les forces de sécurité ont arrêté un homme qui n'a pas été blessé al Président el-Béchir avec ses chaussures. Selon l'agence de nouvelles officielle SUNA que "le lanceur de chaussure" est un homme dans la quarantaine, Abdul Rahman Mohammad Al-Fatah Al-Mahgoub et souffrant de troubles mentaux. L'homme "a voulu livrer un message au président (...) mais les gardes l'ont empêché de le président et lui dit qu'il n'était pas l'endroit approprié et la circonstance. Ensuite, enlever ses chaussures et l'ont jeté président". Elle a dit «l'homme n'appartient à aucun parti, mais les positions dans l'administration (...) n'était pas armé", ajoutant que le lanceur de chaussure être soigné dans un hôpital psychiatrique et a remis plus tard à sa famille. Le 14 Décembre, 2008, dans un geste avait gagné le titre de «héros» dans le monde arabe, la journaliste iraquienne Zaidi a tiré l'ancien président américain George Bush a rejeté sa chaussure alors que George Bush organise une conférence de presse à l'issue de sa visite à Bagdad. Cria un journaliste jeter ses chaussures "Il s'agit d'un baiser au revoir, chien!". Et après avoir été condamné à un an après avoir été reconnus coupables de «coups sur la tête de l'Etat en visite officielle", Zaidi a été libéré après neuf mois pour bonne conduite. Mais, craignant pour sa sécurité, ont fui vers le Liban. Il a reçu le pouvoir en Juin 1989 après un coup d'Etat militaires soutenus par les islamistes. Il est candidat à sa propre succession lors des élections - présidentielle, législatives et régionales - qui se tiendra en avril prochain. Et le président soudanais est confronté à un mandat d'arrêt délivré contre lui par la Cour pénale internationale, qui l'accuse d'avoir commis des crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour, au Soudan (ouest), où une guerre civile depuis 2003 a abouti jusqu'à présent à 300 mille personnes selon les estimations de l'ONU - et dix mille seulement par Khartoum - et 2, 7 millions de personnes déplacées.
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